Ce projet est réalisé en collaboration avec l'Institut Français d'Egypte et l'Institut Français.
Le mot "khayameya" vient d'ailleurs de khayma, qui signifie "tente" en arabe.
Cette broderie consiste en des appliqués colorés de motifs géométriques ou floraux, inspirés de l’art islamique et des mosaïques, cousus à la main sur un fond de tissu solide. Les artisans découpent des morceaux de tissu aux formes précises, souvent en coton ou en soie, et les cousent soigneusement pour former des motifs vibrants, qui rappellent les vitraux ou les motifs arabo-andalous.
Traditionnellement, ces œuvres étaient utilisées pour décorer l'intérieur des tentes lors des célébrations et des cérémonies religieuses, comme le Ramadan ou les mariages. Aujourd'hui, la khayameya est aussi appréciée comme art mural et élément décoratif, incarnant l'héritage culturel égyptien et le savoir-faire artisanal transmis de génération en génération.
Aujourd'hui, véritable art vivant, elle est enseignée au sein de l’école aux filles et aux femmes – au même titre que d'autres techniques artisanales – afin que celles-ci puissent ensuite améliorer leurs conditions de vie.
Ce projet est réalisé en collaboration avec l'Institut Français d'Egypte et l'Institut Français.
Dans le prolongement d’une première étude exploratoire portant sur les industries créatives et culturelles égyptiennes pour l’Institut Français, Itinérance pilote un workshop de co-création autour d’un artisanat traditionnel égyptien : la Khayameya. Là où les rives du Nil côtoient la chaleur millénaire d’une ville qui unit passé et présent, nous rencontrons les femmes de l’association TAWASOL.
Le mot "khayameya" vient d'ailleurs de khayma, qui signifie "tente" en arabe.
Cette broderie consiste en des appliqués colorés de motifs géométriques ou floraux, inspirés de l’art islamique et des mosaïques, cousus à la main sur un fond de tissu solide. Les artisans découpent des morceaux de tissu aux formes précises, souvent en coton ou en soie, et les cousent soigneusement pour former des motifs vibrants, qui rappellent les vitraux ou les motifs arabo-andalous.
Traditionnellement, ces œuvres étaient utilisées pour décorer l'intérieur des tentes lors des célébrations et des cérémonies religieuses, comme le Ramadan ou les mariages. Aujourd'hui, la khayameya est aussi appréciée comme art mural et élément décoratif, incarnant l'héritage culturel égyptien et le savoir-faire artisanal transmis de génération en génération.
Aujourd'hui, véritable art vivant, elle est enseignée au sein de l’école aux filles et aux femmes – au même titre que d'autres techniques artisanales – afin que celles-ci puissent ensuite améliorer leurs conditions de vie.